Ainsi, en ajoutant à ma nouvelle réalité bizarre ou la rupture psychotique que j’aurais pu tout aussi facilement connu, le chat évidemment intelligent a répondu: «probablement, comme le métier est le plus susceptible de voyager plus vite que la vitesse du son, alors…
“ondes de choc”, j’ai dit, terminant sa sentence. Je n’ai pas eu le temps de me demander comment l’étrange chat parlait connaissait mon nom ou pourquoi il avait référencé mon père défunt, que le souci plus pressant d’un autre OVNI sur le point de débarquer pas trop loin a été prise au centre de la scène dans mon esprit. Heureusement, le second n’allait pas atterrir dans mon jardin.
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